La 18ème conférence des parties à la convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques et la 8ème réunion des parties au protocole de Kyoto sont réunies à Doha du 26 novembre au 7 décembre 2012.
La conférence de Doha s’inscrit comme une conférence de transition et de consolidation importante dans le processus de lutte contre le changement climatique mis en place en 1992 avec l’adoption de la Convention climat.
Ces conférences constituent les instruments centraux de la négociation multilatérale sur le climat. Elles témoignent de la prise de conscience collective des efforts à entreprendre pour limiter la hausse des températures à 2°C d'ici la fin du siècle, comme la communauté internationale s'y est engagée à Copenhague en 2009.
Face à l'urgence d'agir contre les changements climatiques, les États doivent consolider à Doha les résultats obtenus à la conférence de Durban en 2011, notamment avancer vers un futur régime juridique international de lutte contre le changement climatique incluant dès 2015 tous les grands émetteurs et entrant en vigueur en 2020 au plus tard.
Consciente des nombreux défis posés par le changement climatique, la France est résolument engagée dans une transition écologique et énergétique sur le plan national et, avec ses partenaires européens, est pleinement déterminée à prendre toute sa part aux efforts de la communauté internationale:
- en cohérence avec son objectif d’excellence environnementale, la France s’engagera à Doha dans une seconde période du Protocole de Kyoto, qui constitue le seul cadre international existant prévoyant des objectifs contraignants de réduction des émissions de gaz à effet de serre ;
- la France présentera sa stratégie pour contribuer à s’assurer que les financements publics et privés adéquats seront mobilisés au-delà de 2012 pour accompagner dans les pays en développement la lutte contre le changement climatique, en particulier à travers des financements innovants ;
- la France s’attachera à ce que l’ambition ne se relâche pas après Doha et que soient fixés, dans le cadre de la Plateforme de Durban, les jalons vers un accord universel en 2015, qui devra s’appliquer à partir de 2020 ;
- dans cette perspective, la France confirmera sa disponibilité pour assumer la présidence de la Conférence climat en 2015, date où un accord universel devra être conclu.
La conférence de Doha s’inscrit comme une conférence de transition et de consolidation importante dans le processus de lutte contre le changement climatique mis en place en 1992 avec l’adoption de la Convention climat.
Ces conférences constituent les instruments centraux de la négociation multilatérale sur le climat. Elles témoignent de la prise de conscience collective des efforts à entreprendre pour limiter la hausse des températures à 2°C d'ici la fin du siècle, comme la communauté internationale s'y est engagée à Copenhague en 2009.
Face à l'urgence d'agir contre les changements climatiques, les États doivent consolider à Doha les résultats obtenus à la conférence de Durban en 2011, notamment avancer vers un futur régime juridique international de lutte contre le changement climatique incluant dès 2015 tous les grands émetteurs et entrant en vigueur en 2020 au plus tard.
Consciente des nombreux défis posés par le changement climatique, la France est résolument engagée dans une transition écologique et énergétique sur le plan national et, avec ses partenaires européens, est pleinement déterminée à prendre toute sa part aux efforts de la communauté internationale:
- en cohérence avec son objectif d’excellence environnementale, la France s’engagera à Doha dans une seconde période du Protocole de Kyoto, qui constitue le seul cadre international existant prévoyant des objectifs contraignants de réduction des émissions de gaz à effet de serre ;
- la France présentera sa stratégie pour contribuer à s’assurer que les financements publics et privés adéquats seront mobilisés au-delà de 2012 pour accompagner dans les pays en développement la lutte contre le changement climatique, en particulier à travers des financements innovants ;
- la France s’attachera à ce que l’ambition ne se relâche pas après Doha et que soient fixés, dans le cadre de la Plateforme de Durban, les jalons vers un accord universel en 2015, qui devra s’appliquer à partir de 2020 ;
- dans cette perspective, la France confirmera sa disponibilité pour assumer la présidence de la Conférence climat en 2015, date où un accord universel devra être conclu.