ERLe gouvernement souhaite « démocratiser Erasmus » (G. Fioraso, 06/01/2013).
Geneviève Fioraso a défendu ce mercredi ce projet à Bruxelles. « Ce programme reste trop élitiste. » Aussi le gouvernement veut-il « l'ouvrir davantage aux filières technologiques et professionnelles: BTS, IUT, licences pro et jeunes en alternance ».
Le gouvernement est « également opposé à l'idée de développer un système de prêt pour les doctorants, comme le souhaite la commission. Cela risquerait d'aboutir à un surendettement » : c’est pourquoi il préfèrerait « des bourses Erasmus plus élevées, avec des critères plus sociaux ». Par ailleurs, « certains étudiants ne partent pas pour des raisons culturelles : ils n'ont pas l'idée d'aller à l'étranger. Il faut simplifier la procédure, lancer une campagne de communication ». « En France, on pourrait atteindre 50.000 étudiants Erasmus par an, contre 31.000 aujourd'hui. Aux côtés notamment du Royaume-Uni, de l'Espagne, de la Suède et du Danemark, la ministre a enfin défendu le label européen « ‘Erasmus pour tous’ que certains voudraient rebaptiser ‘Yes Europe’ » (G. Fioraso, 06/12/2012).
Pour attirer les étudiants étrangers en France, le gouvernement travaille actuellement pour proposer des visas plus longs pour les chercheurs comme pour les étudiants
Geneviève Fioraso a défendu ce mercredi ce projet à Bruxelles. « Ce programme reste trop élitiste. » Aussi le gouvernement veut-il « l'ouvrir davantage aux filières technologiques et professionnelles: BTS, IUT, licences pro et jeunes en alternance ».
Le gouvernement est « également opposé à l'idée de développer un système de prêt pour les doctorants, comme le souhaite la commission. Cela risquerait d'aboutir à un surendettement » : c’est pourquoi il préfèrerait « des bourses Erasmus plus élevées, avec des critères plus sociaux ». Par ailleurs, « certains étudiants ne partent pas pour des raisons culturelles : ils n'ont pas l'idée d'aller à l'étranger. Il faut simplifier la procédure, lancer une campagne de communication ». « En France, on pourrait atteindre 50.000 étudiants Erasmus par an, contre 31.000 aujourd'hui. Aux côtés notamment du Royaume-Uni, de l'Espagne, de la Suède et du Danemark, la ministre a enfin défendu le label européen « ‘Erasmus pour tous’ que certains voudraient rebaptiser ‘Yes Europe’ » (G. Fioraso, 06/12/2012).
Pour attirer les étudiants étrangers en France, le gouvernement travaille actuellement pour proposer des visas plus longs pour les chercheurs comme pour les étudiants